Dans la vie humaine, les rencontres entre individus s’effectuent de différentes manières, elles peuvent être programmées (rendez-vous), inattendues, imprévues (lors des sorties, promenades, évènements)ou même annuelles (lors de la rentrée scolaire comme exemple plus précis).

C’est le dernier type de rencontres qui nous intéresse, vu que cette méthodologie est à 100% scolaire, dont le principe est  toujours « l’élève est avant tout un être humain ».

Un professeur qui prépare les connaissances avant de les transmettre à ses élèves doit être ouvert d’esprit pour qu’ils ne soient pas compromis, ainsi il demeure un individu moins redouté par les élèves ayant un caractère plus ou moins xénophobe.

Le terme « xénophobie » se forme de deux petits mots : xéno qui signifie étranger, phobie qui vient de phobia qui désigne : peur intense. Le tout indique « redouter, ne pas supporter un étranger ».

Le nouveau professeur est effectivement un étranger, mais de manière provisoire. Au bout d’une période de temps de cohabitation avec une personne, cette dernière ne sera plus jugée étrangère : on échange avec le professeur à chaque fois qu’il pose de nouvelles questions concernant la leçon ou la révision des connaissances acquises lors des dernières années de scolarité.

Pour agir sans contrainte avec un caractère moins « xénophobe » que d’habitude, mieux vaut consulter ces conseils simples et sans difficultés :

  • Bien agir dès le premier jour :le jour de la rentrée amène beaucoup de surprises, comme les nouvelles rencontres, notamment celle des professeurs qui changent à chaque année, la plupart d’eux exigent une fiche de renseignements, pour savoir plus sur l’élève, son âge, son ancienne classe, sa moyenne etc.….  C’est donc un premier coup anti-xénophobie : il faut fournir cette fiche sans avoir recours à citer des renseignements jugés « secrets » que les professeurs en général ne demandent pas pour ne pas compromettre la personnalité de l’élève.
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  • Une courte période de révisions : durant laquelle le nouveau professeur verra à peu près qui est compétent ou pas dans sa matière. Si un bon élève est plus ou moins xénophobe, il ne devra pas trouver comme cause ce caractère pour éviter de prendre part dans le test de connaissances, ceci pourrait se retourner contre lui-même et ainsi l’empêcher de garder sa place d’élève performant et ainsi être reconnu par son professeur.
  • Pour le respect qu’on leur doit : (article : relation élève-enseignant)
  • Reconnaître les inconvénients de la xénophobie:

    **  L’acquisition d’une terrible timidité, l’élève ne pourra nullement s’exprimer avec son professeur en cas d’utilité.

      ** Suite au fait précédant,  l’élève restera silencieux et inquiétant, puisqu’il ne participera guère dans les activités, et ceci pour influencer sa note d’évaluation.

      ** Ainsi, si l’évaluation de l’élève xénophobe reste inactive, le professeur devra convoquer ses parents tout en considérant sa prise de position assez faible ou même inexistante.

      ** Suite à tous les autres faits, l’élève aura de mauvais résultats, et il devrait se rattraper pour sauver son année scolaire.


De tels inconvénients n’impressionneraient guère certains élèves ; qui prétendent ne pas être xénophobes, mais pour lutter contre, avant même leur arrivé, rien ne vaut qu’une autre couche de conseils :

      % Accepter l’idée : le professeur est mon unique bras-droit scolaire qui m’aidera à bien poursuivre mes études.

      % Je ne resterai pas plus de 8 mois d’une année aux côtés de ce professeur, alors pas de danger d’inquiétude.

      % Ce professeur reste un être humain comme je le suis, il a un cœur mais aussi un esprit qui s’ouvrira automatiquement à ses élèves.

      % Il faut admettre que certains professeurs ont un côté plein d’humour, qui prouve qu’ils ne sont pas en colère tout le temps.

      % Un professeur n’est sévère que pour l’intérêt de ses élèves, il les contraint à faire ce qui pourrait compromettre la poursuite de leur cursus scolaire, notamment la tricherie.

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