Observons la définition du mot « défi » : provocation dans laquelle l’adversaire est jugé incapable de faire quelque chose.

L’expression « relever un défi » signifie donc : prouver ses capacités à faire quelque chose correctement.

Alors, que peut-on évoquer par « les défis d’un élève » ?

Les devoirs surveillés et les examens permettent à l’élève d’évaluer le degré de ses acquis et connaissances, mais il n’est pas toujours facile de passer de telles épreuves, car chaque élève suit ses propres méthodes de préparation.

En voyant plus clair, on peut déduire que les défis d’un élève ne sont autres que les examens et les interrogations différentes. Mais qui devient l’adversaire dans ce cas ?

L’élève lui-même. Oui ! Car il lui arrive parfois de s’auto-juger incapable : il essaie de se convaincre de l’impossibilité de faire quoi que ce soit concernant ses études, comme ne pas obtenir une bonne note ou ne pas réussir à un important examen.

D’un autre côté, la concurrence entre deux ou plusieurs élèves crée une atmosphère de défis qui restent le plus souvent « invisibles » : deux bons élèves font la concurrence indirectement dans le cadre de la participation en classe. Chacun de son côté est en phase de relever un défi en jugeant simultanément son concurrent inapte d’atteindre le succès que les professeurs désirent pour autant.

Nous pourrons par conséquent comprendre que les défis d’un élève sont essentiels pour la poursuite de son parcours scolaire, puisqu’en les relevant, il crée pour lui-même une certaine atmosphère d’encouragement lui permettant de mieux travailler dans ses examens et ses devoirs, ou même en classe dans le cadre de la participation.

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