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L’expression « on ne peut pas tout avoir » évoque de la déception chez beaucoup de gens, voyant certains projets qu’ils souhaitaient tant concrétiser ruinés suite à des dérèglements ou autres empêchements. L’élève est cependant concerné par cette contrariété, souvent représentée sous forme d’échec scolaire.

Mauvaises notes, difficultés de compréhension, malentendus et conflits quotidiens ou encore gênes psychiques (xénophobie…) sont les principaux éléments qui génèrent la fatigue morale, conduisant, au cas où elle n’est pas traitée, vers l’échec scolaire, qui est la principale cause de la déscolarisation ou la déperdition scolaire.

Des statistiques probables estiment que chaque année, des milliers d’élèves, de toutes catégories confondues, quittent les bancs d’école chaque année. Des chiffres inquiétants, dont les conséquences sont pénibles, parsemés entre le travail forcé, les fléaux sociaux et surtout le chômage, de milliers de jeunes sont perdus chaque année après avoir abandonné mis fin à leurs parcours scolaires, à moins qu’ils soient affectés dans des centres de formation professionnelle, principaux moyens de lutte contre ce phénomène scolaire.

L’échec scolaire, peut se diviser en deux catégories différentes :

v  Le petit échec scolaire : c’est le cas des élèves qui ratent leurs trimestres, et par conséquent refont l’année.

v  Le grand échec scolaire : c’est le cas des élèves qui se font renvoyés, après qu’ils aient refait l’année plusieurs fois consécutives, c’est l’abandon total.

 

v L’échec, un fléau scolaire : certes. Mais il faut avouer qu’il n’est pas toujours de tel : les conditions de vie, jugées lamentables, démotivantes poussent certains élèves à quitter les bancs d’école pour pouvoir rendre leurs vies meilleures, comme la pauvreté, les conflits familiaux, les difficultés de transport deviennent par conséquent des obstacles pour l’apprenant fragile qu’il ne peut pas franchir seul sans l’assistance de quelqu’un.

v L’expulsion, premier facteur : être expulsé efface incontestablement tous les droits de l’élève. Mais les causes sont concrètes : non-respect des professeurs et du personnel administratif, agressions contre d’autres élèves, tabagisme, tricherie, des facteurs pouvant seuls amener au renvoi définitif par décision du conseil de discipline.

v La volonté, précieuse : on ne se trompe pas en disant que « les études » ne sont pas données à tout le monde, car la volonté de les poursuivre est un peu compliquée à acquérir. C’est pourquoi, lorsqu’un apprenant refuse de répondre ou de faire ses devoirs, c’est parfois le manque de volonté de réussite qui le « menace » en quelques sortes, car cela peut automatiquement conduire à un échec certain.

 

Peut-être qu’il n’existe pas de solutions pour l’échec scolaire, car c’est malheureusement un problème définitif. Mais ce n’est guère impossible de prévenir une telle situation dramatique pour l’apprenant. Il faut justement qu’il se fixe une idée : les études représentent l’unique route conduisant à une vie stable et sereine. De plus, il est utile de s’adapter à l’environnement scolaire où on est, et l’élève doit faire preuve de résistance en cas de perturbations à son niveau. Par ailleurs, il reste primordial de s’appliquer quotidiennement (révisions, attention et sérieux en classe), des critères qui produisent incontestablement des résultats encourageants pour la poursuite du cursus scolaire.

 

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